Un mot juste pour dire que je pars, enfin, quelques jours, et rien, vraiment rien n'est prêt. l'Écrivain cède la place à la grand-mère et part avec mari et petits fils à la montagne
à la recherche de la neige qui doit fondre à toute vitesse au moment où j'écris ces lignes. La température est quasi estivale dans la Drôme profonde et nous avons déjà une canne qui couve avec quelques semaines d'avance.
Une adorable journaliste du DAUPHINE LIBERE est venue me voir cet après-midi. Elle m'a posé énormément de questions et, pour ne pas changer, j'ai dit un peu n'importe quoi, alors je crains le pire. De toutes façons l'article sort ce week-end et je serai loin.
Hier j'ai passé la matinée à CULTURA avec le responsable des rayons littératures. Je trouvais que le rayon
"anglais" était vraiment pauvre, il m'a demandé de lui faire une liste pour tout revoir. Je me suis fais plaisir et lui ai offert mes auteurs préférés, dont je vous parlerai à un autre moment car là le temps presse vraiment, mais je m'aperçois que j'ai oublié EDITH WARTON, cette americaine si fine, à la prose délicate et élégante. Oubli à réparer.
Hier j'étais contacté par un studio d'enregistrement qui cherche une anglaise, comme je suis une sorte d'erzatz de JANE BIRKIN, ( point de vue accent) il avait l'air ravi. Nous verrons cela en redescendant.
J'emporte mon ordinateur et espère rajouter quelques pages en altitude, car pour l'instant je suis plutôt un écrivain qui n'écrit pas.
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