Les frères Cohen se sont fait plaisir, et m’offrent, généreusement, 15% de leur bonheur. (voir note précédente) J’aime que les gens soient heureux, je ne jalouse pas leur bonheur, mais « Burn after reading », une comédie à la distribution époustouflante, fait seulement sourire. Parfois. C’est un joli exercice de style. Tout le monde, joue la subtilité, mention spéciale pour Brad Pitt, Frances McDormand, et le patron de la CIA (dont j’ignore le nom) mais le feu d’artifice est resté au vestiaire.
Récemment, momentanément distraite par les lèvres d’Angelina Jolie, cette fois-ci, il faut incriminer les dents de John Malkowitch. Elles sont nombreuses, d’une blancheur éclatante, toute de la même taille, (déroutant), et semblent prêtes à attaquer à tout moment. Alors qu’il menace verbalement, avec revolver et finalement à l’aide d’une hache, il suffirait qu’il ouvre la bouche, même pas trop, juste assez pour ingurgiter quelques olives ou un petit morceau de steck, et tout le monde se sauverait en hurlant. Il aurait fallu, alors, réécrire totalement le scénario, peut-être pas une mauvaise idée, ce qui me permettrait de garder Brad Pitt jusqu’à la fin, quitte à sacrifier Georges Clooney en passant.
Que dire de plus. La Drôme est en alerte orange. Il neige. Malgré les conditions métrologiques épouvantables le berger a voulu s’habiller et faire 8 kilomètres de jogging à l’instar de Georges Clooney. J’espère que la ressemblance s’arrêtera là.
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