Finalement, il ne s'agissait pas d'une vaccination mais d'une prise de sang pour vérifier que les animaux n'aient pas la brucellose. Alors le vétérinaire, sorte de Nosferatu sanitaire, a planté son aiguille dans la jugulaire de ces pauvres bêtes, et est parti, tout heureux, avec un paquet de sang.
La porte a résisté aux coups de cornes.
Ce matin les mares sont gelées et les canards et les oies, plutôt étonnés, font des glissades.
Je n'ai toujours pas trouvé la chute de mon histoire. Cela tourne maintenant à l'obsession.
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