Dans la journée un récapitulatif des morceaux du puzzle sur la même note,cela aidera;pour certains c'est déjà pas mal avancé pour le début du titre,après ça dérape,courage,toujours 3 livres à gagner (franco de port!!)
Une petite pièce de plus.
Un petit confetti de plus...
(Je crois que le jury va mettre 3 livres en jeu, ce qui est magnanime, car pour l'instant il n'y a qu'un participant !)
Vous trouverez ici le tiers gauche de la couverture du nouveau-né qui est actuellement en couveuse et se porte aussi bien que possible.Le tiers droit apparaît dans ma note du 10/9/2008.Une autre petite partie demain pour vous aider !
Celui ou celle qui trouve, le premier, le titre de ce petit roman le recevra, en cadeau, franco de port.
Je viens d’aller voir « PMDLP », rendez-vous incontournable pour quelqu’un qui est abonné aux alertes oranges depuis un certain temps.
Agnès Jaoui joue (tristement) Agnès Jaoui.
Jean-Pierre Bacri joue (stoïquement) Jean-Pierre Bacri.
Jamel Debbouze joue (formidablement) Karim.
Mention spéciale pour les moutons et la voiture de JPB.
Les Foires aux vins, salon et autre interpellation sont partout. Nul ne peut les ignorer et tout le monde a envie d’y faire un tour. La sélection est vaste, les dégustations biaisées, alors je vous propose une méthode infaillible, qui a fait ses preuves depuis de nombreuses années. (Valable pour toutes les foires et salons.)
Vous vous présentez au salon de votre choix, vous choisissez 5, 6 bouteilles, le chiffre peut être exponentiel. Ensuite vous retournez à votre voiture, les mettez dans le coffre et partez au cinéma. Le break cinéma est important, permettant de réfléchir, de reletaviser et d’exaspérer votre palais qui doit être en total manque pour que l’opération soit réussie
Le choix de film ? Il n’y en avait pas. Étant donné mon état de déprime persistante « Mama Mia » s’imposait. J’en suis sortie guérie.
Que vous dire de cette monstruosité kitsch ? Le cadre est idyllique, les acteurs chantent, (pas toujours en play back,) les tubes d’Abba n’ont pas pris une ride, le bonheur est partout, totalement contagieux, et la fin jublilatoire. (Mention spéciale pour la ravissante Amanda Segfried.) Personnellement, j’aurais supprimé carrément les dialogues. Dès que les acteurs commencent à parler, on écoute à peine, seul compte la musique. J’ai regretté, aussi, que Meryl Streep soit partie avec la réclame anti-âge plutôt qu’avec Colin Firth. C’est vrai que l’acteur anglais joue très coincé, comme à son habitude, mais pour ceux et celles parmi vous qui ont vu la version BBC de « Pride and Prejudice , vous savez tous (et surtout toutes) that he is the ultimate.
Mais malgré ces contretemps mineurs, c’est de très, très bonne humeur que nous avons regagné le parking, destination vin.
Maintenant le mode d’emploi. Garez votre voiture dans un coin éloigné à l’abri des regards indiscrets, sortez les bouteilles, mais aussi tire-bouchon, goblets en plastiques, quelques petits gâteaux salés, crayon et morceau de papier. Vous pouvez maintenant commencer à déguster, votre palais étant carrément dans les starting blocks, prêt à donner le meilleur de lui-même tout en fredonnant « Take a chance on me. » Il faut noter soigneusement vos impressions, ne pas trop penser « Money, money, » et surtout pas de « SOS ». Vous pouvez même redéguster, dans la limite d’une certaine modération et faire votre choix tranquillement. Après, il ne vous reste plus qu’à retourner à la Foire et repartir, cette fois-ci, non pas avec des bouteilles tristement esseulées, mais avec de bonnes grosses caisses de vos vins préférés. Ivresse et satisfaction garanties, and « The Winner takes it all ! ».
Je dois vous laisser, Colin Firth is singing « Our last Summer ». Just for me.
L’alerte orange est passée, tout est calme, la chaleur est revenue et je suis toujours déprimée.
Étant d’une nature plutôt optimiste je m’étonne moi-même, mais après une séance d’introspection tout à fait inhabituelle, le diagnostic est tombé : je suis en déprime post-partum. Ce week-end entre des allers-retours pour essayer de calmer la rivière, j’ai corrigé les ultimes épreuves pour le petit roman qui sort incessamment, toujours dans la collection « En attendant le bus ». Et j’ai l’impression de ne pas le connaître, de n’avoir pas été présentée, d’être, en quelque sorte, en marge de moi-même.
Pour le mode d’emploi:
Je vous envoie à la note d'octobre 2007 pour la naissance de sa (pas) très grande sœur:Journal désespéré d'un écrivain raté car il n’y a rien de changé. Il s’agit toujours d’une petite chose bien fragile. Et, compte tenu du titre, je vous demande la plus extrême délicatesse dans le maniement de ses pages.
Comme la naissance est à peine prématurée, je ne vous livre que le tiers de la couverture.
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