Si vous voulez vraiment me faire plaisir, allez sur " biblioblog". Et encore merci à Laurence pour ce joli papier.
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Rédigé à 12:33 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne, Moi | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
Tout à l'heure des amis anglais arrivent et je suis partie pour une dizaine de jours de tourisme et grande bouffe, il est donc urgent de clore une petite chose que j'avais laissée en suspens. Ceux parmi vous qui ont lu " Au Secours Mrs Dalloway et Nicolas Sarkozy", se souviendront que je m'apprêtais à créer un nouveau parti politique avec l'intention de promouvoir discrètement mon roman, et d'écrire, (rapidement) un autre livre qui serait vendu à des milliers d'exemplaires aux membres (nombreux) de ce nouveau parti. Mais pour cela j'avais besoin de la caution politico-litéraire de Mrs Dalloway. Malheureusement celle-ci reste bloquée sur la candidature de Dominique de Villepin, attirée, je pense,plus par son opulente chevelure argentée que par ses idées politiques. Elle ne souhaite pas être plus explicite, et est partie en cure à Bath dans le sud-ouest d'Angleterre en emportant l'oeuvre complète de Jane Austen. Elle refuse de répondre à mes appels. J'en suis fort dépitée. J'avais pourtant trouvé deux slogans plaisamment acrocheurs : "Vous avez des questions, nous aurons les réponses," et "Dites-nous ce dont vous avez besoin et nous vous dirons comment l'acquérir." Je trouvais ce savant mélange de pensée politique élémentaire, totalement participative, et du consumérisme, bien dans l'air du temps. Quant au parti proprement dit, il devait s'appeler : "AIDE ET SECOURS". Dire la même chose deux fois pour être sûr que les gens ont compris est un tic politique récurrent, et permettait de rappeler discrètement, mais pas de trop, le titre de mon roman. "AIDE ET SECOURS" est donc mort-né, et mon rêve de publier un livre où j'aurais écrit (en toute vitesse) n'importe quoi, également. Ce n'est pas rien de voir ses rêves fracassés de la sorte, et pour comble de malheur je viens d'apprendre que Frédéric Beigbeder va publier un livre en juin intitulé : " Ausecours...pardon." Pas tout à fait un plagiat, hélas, mais presque. Mrs Dalloway n'aimera pas du tout, et comme elle est très attachée à l'esthétique, j'ai bien peur que les cheveux de l'auteur ne lui plaisent pas également.
Rédigé à 16:39 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne | Lien permanent | Commentaires (5) | TrackBack (0)
Le fait d'avoir un cv qui tient sur un timbre poste n'est pas une bonne chose pour un écrivain. Il faudrait une bibliographie qui sent le souffre, la débauche, l'exotisme, l'extraordinaire, l'interdit. Au moins. De ce côté-là, chez moi, c'est plutôt le néant. L'autre jour on m'a tendu une paille, une toute petite ouverture vers le sensationnel, et j'ai bien envie de m'y accrocher avec toute la force du désespoir d'être plus ou moins normale. Un défaut impardonnable dans le monde de l'édition. LA TRIBUNE DE MONTELIMAR a publié un article, tout à fait gentil, sur mon passage à Grignan pour un café littéraire. Mais ce n'est ni l'article, ni la photo qui ont retenu mon attention, mais le titre : " Café Littéraire : MARY DILLINGER." Et je me suis mise à rêver. Si vraiment on me prenait pour une descendante de John Dillinger, j'aurais mes chances partout. Non seulement il était violent, immoral, beau gosse et élégant, en plus son nom est très connu, même si certains n'ont qu'une très vague idée de son parcours véritable. Mais tout le monde sait qu'il était mauvais. Très mauvais. Et c'est cela qui compte. J'ai téléphoné tout de suite à mon éditeur pour savoir si je pouvais changer mon nom et pimenter mon cv que je voyais très clairement. Je serais la fille d'une de ses nombreuses maîtresses. Ma mère aurait été belle et instable, droguée ou alcoolique, ou les deux, je n'avais pas encore décidé, et j'aurais été abandonnée dans une poubelle derrière the Biograph Théâtre, lieu de son assassinat. Le reste de ma vie n'est pas encore très clair, mais ce n'est pas la peine de m'y attarder, car Jacques André refuse toute modification, pour des raisons d'éthique. Il m'a beaucoup déçue. La mort dans l'âme je fais une lettre à la rédaction pour demander une toute petite réctification. Je l'affranchirai avec un timbre vert. Tout le monde sait que ces sous-lettres mettent des années pour arriver à destination. Je sens que mon père sera content.
Rédigé à 19:33 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne, Moi | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
Quel est le lien entre gastronomie et création littéraire ? La réponse est simple : aucun. Ayant pris de bonnes résolutions, ayant réussi à progresser timidement de quelques pages et de quelques idées, je viens d'être foudroyée par l'hospitalité généreuse des habitants de la Drôme qui n'ont jamais entendu parler de "Carême" et fêtent la semaine sainte joyeusement en mangeant plus que d'habitude. Nous avons débuté dans le Diois par la merveille des merveilles : de petits toasts de beurre salé aux truffes. Le ratio entre le beurre et les truffes était lesté totalement en faveur des truffes, et ces petites choses resteront parmi un de mes meilleurs souvenirs gastronomiques. Elles étaient peut-être petites, mais elles s'étendaient à perte de vue, nos hôtes ayant un stock illimité de truffes, et, évidemment, c'était irrésistible. Mais ils avaient aussi, comme tous les gens bien d'ici, leur propre charcuterie provenant de leur propre cochon, (défunt) et tenaient, en embuscade, saucisson et murson,( sorte de cervelas à la couenne et la viande de porc.) Le reste du repas était un peu flou, mais au dessert on nous a servi de la clairette de Die, provenant de leurs vignes, qui n'a pas sa pareille pour achever une anglaise. Mais il faisait très beau et nous sommes partis faire une promenade digestive dans les vignes avec vue époustouflante sur les collines bleutées, un peu embrumées, le tout si romantique, si beau, que je n'avais qu'une hâte de rentrer à la maison pour écrire où, une fois passée la porte d'entrée, je me suis effondrée dans un fauteuil pour dormir pendant deux heures. Bien entendu, mon chef d'oeuvre n'a pas avancé d'une virgule. La suite est pour gastronomes avancés : un déjeuner, le lendemain, chez le président de la Chasse. En entrée : terrine de porc, ( le leur bien sûr), terrine de chevreuil,( tué par le président), caillette,( le même porc que tout à l'heure), et saucisson de sanglier,( tué et fabriqué par le fils.) Le tout absolument délicieux. Mais, était-ce bien raisonnable car ce n'était que le début ? Quant à la fin, de nouveau, sans pitié, on me verse de la clairette de Die, et je commence à voir trouble. Mais, une fois de plus, je suis ressuscitée par une petite promenande, cette fois pour visiter brebis avec clochette et agneaux sous un ciel plus bleu que bleu, boeufs impressionnants, ânes familiers, chien de chasse à volonté, un cadre de rêve et de nouveau je sens frémir la fibre créatrice qui s'évanouit avant même de passer la porte de la maison, car cette fois, atteinte par la chaleur, je m'écroule sur la première chaise de jardin et ne la quitte qu'avec le crepsucule. En conclusion, il n'est pas facile d'être écrivain, ou plutôt de le rester, tout le monde conspirant avec énormément de gentillesse, à vous écarter du droit chemin, tout en vous demandant : "À quand votre prochain roman ?" Question à laquelle je ne saurais répondre. En revanche, mon mari veut acheter un cochon, et là, j'ai exercé, très fermement, mon droit de veto.
Rédigé à 20:44 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
Hier j'ai appris que Nicolas Sarkozy, sans parler des autres, allait publier son livre/programme à je ne sais combien d'exemplaires. Depuis, je suis effondrée et je songe de plus en plus à faire de la politique. Dans quel autre domaine peut-on publier un livre illisible et être sûr de l'écouler (14,90 pour ne pas dire 15 euros tout de même) à un nombre incalculable d'exemplaires ? J'ai contacté tout de suite Mrs Dalloway pour demander de l'aide, mais sans succès, elle veut toujours voter pour Dominique de Villepin et m'a raccroché au nez. Alors je réfléchis. Difficile de faire de la politique en ce moment si on n'est pas candidat. Mais on pouvait toujours faire comme NICOLAS HULOT qui tient des meetings, ( c'est la même chose qu'une réunion, mais en plus grand et surtout plus politique), alors j'ai bien envie d'essayer. Étant donné que mon but, inavouable, est de faire vendre une vaste quantité d'exemplaires de mon roman, il faut qu'il y ait un lien plausible entre les deux. Je réfléchis toujours, ( mais pas de trop) et conclus qu'il faut appuyer à mort sur le titre et la conception de "l'aide". "AU SECOURS MRS DALLOWAY" pourrait être un CRI qui remonte de la France profonde pour exploser au nez des candidats qui n'auraient rien vu venir. De l'aide, tout le monde en veut et personne n'est sûr d'en avoir, alors que ceux qui ont lu le roman, savent que l'on peut compter sur Mrs Dalloway pour les tirer d'affaire. Je lui retéléphone immédiatement. La suite ne tardera pas.
Rédigé à 11:47 dans actualités, littérature française et anglosaxonne, Moi, Web | Lien permanent | Commentaires (2) | TrackBack (0)
La salle était enveloppée d'une pénombre bleutée, la fumée obscurcissant les traits et étouffant les voix. Dans un coin le poète maudit marmonnait des vers que personne n'écoutait, l'écrivain feuilletait des pages raturées et froissées et l'artiste se morfondait devant un verre d'absinthe. Quelques filles, au maquillage outrancié et à la toilette douteuse, attendaient, en silence, le bon vouloir de ces messieurs... C'était la première fois que j'assistais à un café littéraire, et je peux vous assurer que cette image romantique ne correspond plus du tout à la réalité. Bien entendu personne ne fumait, ni ne buvait, la salle était éclairée tout à fait normalement, l'assistance franchement bien sous tout rapport, et Madame de Sévigné regardait par-dessus mon épaule. La personne sensée me mettre en morceau étant coincée quelque part entre Pékin et Grignan, je me suis retrouvée entre la présidente de l'association, femme délicieuse à la voix douce, qui ne m'a posé que des questions charmantes, et un ami grignanais avec un cerveau comme Paris (et sa banlieu) et une acuitié intellectuelle à fair frémir une brochette d'académiciens. Ce dernier a parlé d'un livre que j'ai d'abord cru écrit par quelqu'un d'autre. Lorsque j'ai réalisé qu'il s'agissait du mien, j'étais franchement épatée, quoiqu'en état de choc. Ensuite les choses se sont déroulées dans une ambiance hilare, beaucoup de fous rires, peut-être pas très littéraires, mais tout le monde avait l'air ravi. Quant à moi, même sans absinthe, j'en redemande.
Rédigé à 13:35 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne, Moi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Quelqu'un a dit : " Paris, ce n'est pas la France," ou quelque chose comme cela. Géographiquement c'est vrai, culturellement c'est, bien entendu, faux. Et particulièrement en ce qui concerne le livre. Un livre bien accueilli par la merveilleuse presse de proximité, si vivante en France, est mort-né si Paris ne se penche pas sur son berceau. Je suis, ou plus précisement mon roman " Au Secours Mrs Dalloway" est sous assistance réspiratoire, et on ne tardera pas à le débrancher. L'Euthanasie est un sujet tabou, sauf pour la littérature où c'est une pratique courante. Vous aurez compris tout de suite que ces réflections plutôt amères concernent le Salon du Livre de Paris. Nous serons présents l'année prochaine, mais cela me semble bien loin en ce moment.
Aujourd'hui est un peu jour de déprime, ce qui n'est pas courant. Je suis agrégée de stress, c'est une nouvelle pour personne et vous savez tous depuis hier que je suis insomniaque, mais pour le reste, j'ai plutôt un tempérament optimiste. Pourquoi, alors, ce petit fléchissement ? Bizarrement, c'est parce que j'ai énormément de courrier et de messages, qui me disent que le livre distrait, fait sourire, voire rire, fait passer un bon moment, permet d'échapper au quotidien pas facile and so on. alors je me dis que de lui offrir une petite vie, n'est pas une chose si extraordinaire.
Je m'arrête. Je déteste les gens qui s'apitoyent sur leur sort. Et là je plaide coupable sans circonstances atténuantes et promets de ne plus recommencer. I promise, I really do.
Rédigé à 09:40 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Finalement, la réussite semble être proportionnelle au stress. Est-ce une finalité ? Ai-je découvert, tout d'un coup, une vérité profonde ? Peut-on conclure qu'il suffit de stresser pour réussir ? Cela semble un peu court, mais sujette au stress comme vous avez pu vous en apercevoir, elle est séduisante.
Je résume : il y avait du monde, j'ai signé pendant 3 heures, les libraires étaient heureux, l'éditeur satisfait et l'interessée principale, soulagée. Après, nous avons décompressé, entre famille et amis, dans un bistro rue Bellechasse, où, fidèle à ma promesse à Tain l'Hermitage de promouvoir les Côtes du Rhône en toutes circonstances, nous avons bu, à 25, un excellent Saint Joseph.
Pourtant tout avait horriblement commencé par un vieux monsieur, bel homme, qui s'installe en face de moi, tourne le livre dans tous les sens, pose maintes questions, écoute poliment, boit un verre de vin blanc, croque quelques petits gateaux, le tout fourni aimablement par la librairie, puis se lève, balaye les quelques mies d'une main élégante et m'assure qu'il reviendra, peut-être. "Je ne serai plus là", dis-je en guise d'argument irrefutable. "Mais votre livre le sera," répond l'affreux octogenaire, sans doute un habitué des signatures parisiennes qu'il transforme en goûters littéraires.
Un moment un peu difficile aussi, lorsqu'une dame, très comme il faut, ancienne traductrice, ouvre le livre, soit disant au hasard, mais je crains un coup monté de certaines de mes amies lyonnaises qui trouve le livre immoral, et déclame d'une voix très distincte, imposant un silence intéressant à l'assemblée : " J'étais presque nue, lui toujours..." J'ai saisi mon bien avec fermeté sous pretexte d'affluence, ignorant le regard lubrique du monsieur en pole position, et lui ai fait une dédicace sévère pour appuyer le côté sérieux de l'oeuvre.
À part cela, que du bonheur. Des rencontres toujours : celle d'une amie du cyber-space qui s'est magiquement matérialisée, ( ne manquez pas son blog bourré de talent : ledemondesmots.blogs.pyschologies.com) des écrivains, des d'anglophiles, beaucoup de jeunes, des moins jeunes et des entre-deux, en somme ce que les anglais appelleraient :" a perfect cross section."
Que dire de plus sinon mon admiration pour la librairie Privat-Julliard qui a organisé cette manifestation à la perfection, et mes remerciements à famille et amis pour leur soutien fidèle.
Donc une nouvelle étape de franchie et une certaine détente qui va me permettre, je l'espère, de me remettre au travail. Dès que j'ai fini (presque) le dernier Sarah Waters ( en anglais) je me replonge dans les classiques français. Peut-être en cotoyant les très grands, arriverai-je à la page 56 ? Il faut toujours vivre d'espoir.
PS Pour ceux qui n'ont pas encore lu le livre, et vous êtes nombreux, le passage cité ci-dessus se trouve à la page 90
Rédigé à 17:18 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne, Moi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
Cette fois-ci c'est un appel "au secours", non pas Mrs Dalloway, mais tout simplement moi. Si jamais il y a quelqu'un qui lit ce message et qui habite Paris, venez me voir ce jeudi 8 mars, 299, Boulevard Saint Germain chez Privat-Julliard à partir de 17h.
J'ai le trac. J'angoisse. Je n'aurais jamais dû quitter les moutons, les chèvres, les canards, les oies, les poules et les pigeons de la Drôme.
Rédigé à 19:46 dans actualités, Culture, littérature française et anglosaxonne, Moi | Lien permanent | Commentaires (4) | TrackBack (0)
Et le Salon des Vins dans tout cela ? Entre les livres perdus puis retrouvés et les petits enfants déchaînés, il est vraiment passé en deuxième plan, alors que c'était une expérience fascinante.
Bien entendu, je n'ai pas coupé le ruban, Monsieur le Préfet oblige, mais j'ai eu droit à un morceau du ruban bleu, blanc, rouge en souvenir, que j'ai, d'ailleurs, immédiatement perdu, et qui fait peut-être, en ce moment, le bonheur d'un collectionneur républicain.
La veille j'avais un peu paniqué, comme toujours, et avais fait imprimer mon speech en caractères énormes, à l'instar des hommes politiques, en me disant que je n'arriverais jamais. Bien entendu, je suis partie les mains vides et tout s'est bien passé. Il faut dire que la concurrence était exclusivement politique, et il n'y a rien qui ressemble autant à un discours politique qu'un autre discours politique, me laissant le champ libre pour faire un peu n'importe quoi de mon côté. Quant à l'intronisation
au sein de la Confrèrie du CROZE HERMITAGE, je redoutais ce grand verre de vin à jeun, mais il était tellement bon que j'ai failli le boire cul-sec, mais une certaine prudence innée m'a freinée à la dernière minute et je l'ai bu en deux fois.
Après j'aurais pu faire mon discours à l'endroit, à l'envers et contre tout, tellement je me sentais légère.
Ensuite on m'a installée au stand du Credit Agricole, débarassé de banquiers, avec mes livres et un verre de CORNAS fourni par mon voisin de stand, qui d'ailleurs a veillé à ce que je n'aie pas soif pendant les deux jours. Finalement j'avais beaucoup prêché la création dans le vin, mais je ne suis pas sûre que cela soit une bonne idée, car après deux jours de régime CORNAS j'étais plutôt hilare, et sans la moindre idée pour faire avancer mon prochain roman. ( Toujours bloqué à la page 55.)
Beaucoup de rencontres, pas forcément littéraires, mais toujours intéressantes, amusantes, parfois touchantes.
La plus jolie signature : un gardien de la paix en grand uniforme, la mine plutôt sévère, qui voulait "AU SECOURS MRS DALLOWAY" pour sa femme, " l'amour de ma vie".
Et ses yeux bleus de fondre. Et moi avec.
Rédigé à 18:28 dans actualités, Moi | Lien permanent | Commentaires (0) | TrackBack (0)
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